Salut la terre et les terreux !
Je suis sûr que parmi les voyeurs qui sont scotchés en ce moment derrière leur écran, y'en a plus de 90% qui ne sont là que pour se bidonner.
Rigolez les gars, si vous avez rien d'autre de prévu. Rire, c'est déjà ça.
Le must, ça serait de trouver l'antibiotique humain. J'y travaille. Pour les plus crasseux d'entre vous, je rappelle qu'antibiotique, ça signifie "contre la vie". Pigé le rapport à l'humain. Dès que je l'ai trouvé, j'vous informe. Histoire que vous ayez le temps d’embrasser votre mère, un crucifix ou les fesses de votre sœur, si ça vous chante.
Nous allons maintenant discuter arithmétique au moyen d’une petite expérience. Soyez attentifs, je ferai pas de deuxième séance.
Bien. Notre jolie planète dispose de millions de kilomètres cube d’eau. Pour le moment, rien de neuf.
Mais saviez vous que seuls 3% de cette flotte est buvable ? C’est à dire douce, en clair pour les crasseux, non salée.
Et j’ai dit douce, pas potable. Appréciez la différence.
On va dire que ce verre que je tiens dans la main représente ces 3%. OK ?
Ça fait pas des masses, hein ? Mais attendez, j’ai pas fini. Sur ces 3%, un quart est gelé à l'année, dispatché entre les pôles et les glaciers. Donc inaccessible. Je balance. (tu renverses un quart du verre)
Un autre quart est la propriété du Canada. (tu bois un quart)
Le troisième quart se trouve dans l'hémisphère nord, dont une bonne partie dans le lac Baïkal. (tu bois le troisième quart)
Et le quatrième, il est où ? Bien joué les géographes ! Dans l'hémisphère sud. Chez les pouilleux. Non compté la partie glacée du pôle sud.
En clair, pour les non-matheux, ça signifie que 75% de la population mondiale se bataille un quart de 3% d’eau. Pour vivre. Survivre serait d'ailleurs plus approprié pour qualifier l’état dans lequel ces nègres et ces faces de terre cuite osent se montrer devant les caméras des reporters.
Voilà, le problème du jour posé !
Allez visiter le site des Nations Unies, ça vous donnera des idées. Il paraît même qu’on y trouve une solution, enfin… une utopie de solution, faut pas déconner.
Trop cher, ont dit messieurs les banquiers. Trop cher ! T’as pas d’argent, mange graine ? Et bah t’a qu’à crever de soif. Bien fait pour ta gueule !
Allez les nains ! A la prochaine.
Comme d'habitude, je n'ai qu'un seul regret, c'est que l'humanité ne soit toujours pas en voie d'extinction. Mais je le répète. Tout ça finira mal !
Salut les bouffeurs d'illusions.

Tchao !